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Votre recherche : "U" comme lettre. Résultat : 247 réponses dans le Petit Larousse 1905. |
U n. m. Vingt et unième lettre de l'alphabet français et la cinquième des voyelles : un grand U ; un petit u. Membre d'U, ouvrage de treillageur en formee de U ou de V.
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| UBÉREUX, EUSE (reû, eu-ze) adj. Qui est très fécond. (Peu us.)
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| UBIQUISTE (ku-is-te) n. et adj. (du lat. ubique, partout). Fam. Personne ou être qui paraît être dans plusieurs lieux à la fois, ou qui se trouve bien partout. Docteur de l'Université qui n'était attaché à aucune faculté particulière. (Se dit aussi pour ubiquitaire.)
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| UBIQUITAIRE (ku-i-tè-re) n. m. (du lat. ubique, partout). Membre d'une secte de luthériens qui soutenaient que le corps de Jésus-Christ est présent dans l'Eucharistie, non par l'effet de la transsubstantiation, mais parce qu'il est présent partout.
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| UBIQUITÉ (ku- i-té) n. f. (lat. ubiquitas ; de ubique, partout). Le fait d'être présent en tout lieu à la fois. Je n'ai pas le don d'ubiquité, je ne puis être partout en même temps.
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| UDOMÈTRE n. m. Syn. de pluviomètre.
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| UDOMÉTRIQUE adj. Qui a rapport à l'udomètre. (On dit aussi pluviométrique.)
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| UHLAN (u asp.) ou HULAN (h asp.) n. m. (turc oghlan) Espèce de lancier, dans les armées allemandes, autrichiennes et russes.
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UKASE ou OUKASE (ka-ze) n. m. (russe ukasasi). Edit du tsar : un ukase impérial. Fig. Décision empreinte d'absolutisme : les ukases d'un chef de bureau.
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| ULCÉRATIF, IVE adj. Qui produit l'ulcération.
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| ULCÉRATION (si-on) n. f. Formation d'ulcère. L'ulcère lui-même.
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ULCÈRE n. m. (lat. ulcus, eris). Solution de continuité dans un tissu, avec perte de substance déterminée par une cause locale : ulcère variqueux. Arbor. Plaie des arbres.
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| ULCÉRÉ, E adj. (de ulcère). Conscience ulcérée, pressée de remords. Cœur ulcéré, qui garde un profond ressentiment.
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ULCÉRER (ré) v. a. (Se conj. comme accélérer.) Produire un ulcère. Fig. Produire une profonde blessure morale : cette déception l'a profondément ulcéré.
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ULCÉREUX, EUSE (reû, eu-ze) adj. De la nature de l'ulcère : plaie ulcéreuse. Couvert d'ulcères.
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| ULCÉROÏDE (ro-i-de) adj. Qui ressemble à un ulcère.
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| ULÉMA n. m. (ar. oulema, pl. de alim). Docteur de la loi, théologien chez les musulmans.
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| ULEX (lèks) n. m. Syn. de ajonc.
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ULIGINAIRE (nè-re) ou ULIGINEUX, EUSE (neû, eu-ze) adj. Qui croît ou vit dans les lieux humides : plantes uliginaires ou uligineuses.
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| ULITE n. f. Inflammation de la muqueuse des gencives.
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| ULUQUE (ul-lu-ke) n. m. Bot. Genre de chénopodiacées du Pérou, à tubercules alimentaires.
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| ULMACÉES (sé) n. f. pl. Famille de dicotylédones, ayant pour type l'orme. S. une ulmacée.
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ULMAIRE (mè-re) n. f. Genre de rosacées, vulgairement appelées reines-des-prés : l'ulmaire fournit par ses tiges une teinture jaune.
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| ULMIQUE adj. Se dit d'un acide qui prend naissance dans la décomposition des matières animales et végétales.
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| ULNAIRE (nè-re) adj. (du lat. ulna, os cubital). Qui a rapport à l'os cubital.
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| ULOTRIC (trik') n. m. Genre d'algues filamenteuses, des eaux douces de nos pays.
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| ULSTER (uls-tèr) n. m. (du n. d'une province d'Irlande). Long pardessus d'hiver, en formee de robe de chambre.
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ULTÉRIEUR, E adj. (lat. ulterior). Qui est au delà, par opposition à antérieur : la Calabre Ultérieure. Qui arrive après, par opposition à antérieur : nouvelle ultérieure. Ant. Antérieur.
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ULTÉRIEUREMENT (man) adv. Plus tard : nous examinerons cela ultérieurement. Ant. Antérieurement.
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ULTIMATUM (tom') n. m. (du lat. ultimus, dernier). Conditions irrévocables. Dernier mot. Dernière proposition, précise et péremptoire, qu'une puissance fait à une autre et dont la non-acceptation doit amener la guerre : signifier un ultimatum.
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ULTIME ou ULTIÈME adj. (lat. ultimus). Dernier, final : syllabe ultime.
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| ULTIMO adj. (m. lat.) En dernier lieu, lorsqu'on a compté par primo, secundo, etc.
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ULTRA mot lat. signif. au delà, et qui entre dans la composition de beaucoup de mots, pour caractériser ce qui est exagéré. N. m. Celui qui professe des opinions exagérées en politique : tous les gouvernements ont leurs ultras. Sous la Restauration, ultraroyaliste, partisan intransigeant de l'ancien régime.
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| ULTRA-LIBÉRAL, E, AUX adj. et n. Qui pousse le libéralisme à ses dernières limites.
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ULTRAMONTAIN, E (tin, è-ne) adj. et n. (préf. ultra, et lat. mons, montis, mont). Qui est au delà des monts, et particulièrement au delà des Alpes, par rapport à la France : pays ultramontains. Se dit des doctrines théologiques particulières ou favorables à la cour de Rome : les prétentions ultramontaines. (Son opposé est gallican.)
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| ULTRAMONTANISME (nis-me) n. m. Système des ultramontains.
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ULTRA-PETITA n. m. (mots lat. signif. au delà de ce qui a été demandé). Dr. Statuer ultra-petita, se dit d'un tribunal qui décide sur les choses qui ne lui étaient pas soumises : les jugements entachés d'ultra-petita peuvent être rétractés par la voie de la requête civile.
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| ULTRA-RÉVOLUTIONNAIRE (si-o-nè-re) adj. et n. Se dit des révolutionnaires outrés.
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ULTRA-ROYALISTE (roi-ia-lis-te) n. Partisan outré des doctrines monarchiques. Adjectiv. : politique ultra-royaliste.
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| ULTRA-VIOLET, ETTE (lè, è-te) adj. Se dit des radiations obscures plus réfrangibles que le violet.
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| ULTRA-ZODIACAL, E, AUX adj. Se dit des planètes dont l'orbite n'est pas comprise entièrement entre les plans qui limitent le zodiaque.
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| ULULATION (si-on) n. f. (de ululer.) Cri des oiseaux de nuit. (On dit aussi ululement.)
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| ULULER (lé) v. n. (du lat. ululare, hurler). Crier, en parlant des oiseaux de nuit.
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| ULVACÉES (sé) n. f. pl. Famille d'algues vertes, en formee de lame. S. une ulvacée.
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| ULVE n. f. Bot. Genre d'algues gélatineuses.
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UMBRE (on-bre) n. m. Genre de poissons physostomes, répandus dans les eaux douces de l'hémisphère boréal : l'umbre ne dépasse guère une vingtaine de centimètres de long.
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UN, UNE adj. numér. Le premier de tous les nombres : un franc. Adj. numér. Premier : chapitre un. Seul, qui n'est pas associé à d'autres : travail fait en un jour. Qui n'admet pas de division : Dieu est un ; la vérité est une. Qui n'est point multiple ; simple : dans un poème, l'action doit être une. Adj. indéf. Quelque, certain : un ancien a dit. N. m. Une unité : un et un font deux. Le chiffre qui exprime l'unité : un un mal tracé. Un à un, un succédant à l'autre. Pas un, aucun, nul. Ne faire qu'un, être tout à fait semblable ou parfaitement uni. En donner une à quelqu'un, lui en faire accroire. L'un, un des deux nommés, par opposition à l'autre. L'un l'autre, réciproquement.
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UNANIME adj. (lat. unus, un, et animus, esprit.) Général, sans exception : un avis unanime. Pl. Tous du même avis : nous avons été unanimes.
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UNANIMEMENT (man) adv. A l'unanimité : cette décision a été unanimement approuvée.
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UNANIMITÉ n. f. (de unanime.) Conformeité à des opinions, des suffrages : proposition adoptée à l'unanimité.
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| UNAU (nô) n. m. Sorte de paresseux de l'Amérique tropicale.
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| UNCIAL, E, AUX (on) adj. V. oncial.
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| UNCIFORME (on) adj. Qui a la formee d'un crochet.
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| UNCINÉ, E (on) adj. (du lat. uncus, crochet). Qui a un crochet.
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| UNDECIMO (on-dé) adv. (m. lat.) Onzièmement.
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| UNGUÉAL, E, AUX (on-ghu) adj. (du lat. unguis, ongle). Qui a rapport, qui appartient à l'ongle.
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| UNGUIFÈRE (on-ghu-i) adj. Qui porte un ongle.
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| UNGUINEUX, EUSE (on-ghu-i-neû, eu-ze) adj. (du lat. ungere, oindre). Anat. Onctueux.
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| UNGUIS (on-ghu-iss) n. m. (mot lat. signif. ongle). Anat. Très petit os de la face, qui a la formee et la transparence d'un ongle.
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UNI, E adj. (de unir). Sans inégalités : chemin uni. Sans ornements : linge uni. Sans variétés : vie unie. N. m. Chose unie. Etoffe unie, d'une seule couleur : ne porter que de l'uni. Ant. Raboteux, inégal.
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UNIATE n. m. (du lat. unia, union). Chrétien grec reconnaissant la suprématie du pape. Adjectiv. : les Grecs uniates.
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| UNICAULE (kô-le) adj. Bot. Qui n'a qu'une tige.
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UNICELLULAIRE (sèl-lu-lè-re) adj. Qui n'est formeé que d'une cellule : organisme unicellulaire.
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| UNICOLORE adj. Qui est d'une seule couleur.
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| UNICORNE adj. Qui n'a qu'une corne.
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| UNICOTYLÉDONÉ, E adj. Bot. Syn. de monocotylédoné.
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UNIÈME adj. num. ord. de un. (Ne s'emploie qu'à la suite des dizaines, des centaines, etc. : le vingt et unième jour. )
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UNIÈMEMENT (man) adv. Ne s'emploie qu'en composition : vingt et unièmement, en vingt et unième lieu.
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| UNIFICATION (si-on) n. f. Action d'unifier.
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| UNIFIER (fi-é) v. a. (lat. unus, un seul, et facere, faire. — Se conj. comme prier.) Réduire plusieurs parties à un seul tout.
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| UNIFLORE adj. Bot. Qui ne porte qu'une fleur.
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| UNIFOLIÉ, E adj. Bot. Qui ne porte qu'une seule feuille.
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UNIFORME adj. (lat. unus, un seul, et formea, formee). Qui a la même formee ; pareil : des maisons uniformees. Où l'on n'aperçoit aucune variété : aspect, couleur, style uniformee. Toujours égal : allure uniformee. Qui ne change pas, est toujours le même : vie, conduite uniformee. Mouvement uniformee, mouvement d'un corps qui parcourt des espaces égaux en des temps égaux. N. m. Vêtement uniformee, qui est le même pour toute une catégorie d'individus : l'uniformee d'un lycée. Habit militaire, costume de corps : le prestige de l'uniformee. Fig. Endosser l'uniformee, se faire soldat. Quitter l'uniformee, se retirer du service militaire. (V. militaire.)
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UNIFORMÉMENT (man) adv. D'une manière uniformee : mouvement uniformeément accéléré.
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| UNIFORMISATION (za-si-on) n. f. Action d'uniformeiser. Son résultat.
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| UNIFORMISER (zé) v. a. Rendre uniformee.
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| UNIFORMITÉ n. f. Etat de ce qui est uniformee.
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| UNIJUGUÉ (ghé), E adj. Se dit d'une feuille ayant une seule paire de folioles.
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| UNILABIÉ, E adj. Qui n'a qu'une seule lèvre.
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UNILATÉRAL, E, AUX adj. (lat. unus, un seul, et latus, eris, côté). Bot. Situé d'un seul côté : nectaire unilatéral. Dr. Qui n'engage qu'une seule des parties contractantes : la donation est une convention unilatérale.
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| UNILATÉRALEMENT (man) adv. D'une façon unilatérale. (Peu us.)
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| UNILOBE, E adj. Qui n'a qu'un lobe.
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UNILOCULAIRE (lè-re) adj. Bot. Qui n'a qu'une loge : ovaire uniloculaire.
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UNIMENT (man) adv. D'une façon unie. Sans inégalité : toile travaillée uniment. Simplement, sans ambages : voilà tout uniment ce que j'ai vu.
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UNINOMINAL, E, AUX adj. Qui ne contient qu'un nom. Qui ne peut se faire qu'en indiquant un seul nom : scrutin uninominal.
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| UNIOCULÉ, E adj. Qui n'a qu'un œil. (Peu us.)
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UNION n. f. (lat. unio). Association de différentes choses, de manière qu'elles ne formeent plus qu'un tout : l'union de deux terres. Conformeité d'efforts ou de pensées : l'union fait la force. Association entre plusieurs personnes : union commerciale. Traité d'alliance. Mariage : union bien assortie. Ant. Désunion, discorde.
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| UNIONISME (nis-me) n. m. Doctrine des unionistes.
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UNIONISTE (nis-te) n. m. Membre d'une union ouvrière. Partisan du maintien de l'union, dans un Etat confédéré : les unionistes anglais sont adversaires de l'autonomie irlandaise.
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UNIPARE adj. (lat. unus, un, et parere, enfanter). Qui généralement ne donne naissance qu'à un seul petit : femelle unipare.
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| UNIPERSONNEL, ELLE (pèr-so-nèl, è-le) adj. Gramm. Qui ne s'emploie qu'à une seule personne. (Se dit d'un verbe qui ne s'emploie qu'à la 3e pers. du singulier, et que les grammairiens appellent aussi impersonnel.)
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| UNIPERSONNELLEMENT (pèr-so-nè-le-man) adv. A la manière des verbes unipersonnels. (Peu us.)
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| UNIPÉTALE ou UNIPÉTALÉ, E adj. Bot. Qui n'a qu'un seul pétale.
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| UNIPOLAIRE (lè-re) adj. Qui n'a qu'un pôle.
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UNIQUE adj. (lat. unicus). Seul en son genre : fils unique. Fig. Infiniment au-dessus des autres : un talent unique. Singulier, extravagant : ah ! vous êtes unique.
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UNIQUEMENT (ke-man) adv. Exclusivement : penser uniquement au devoir. Préférablement à tout: aimer uniquement.
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UNIR v. a. (lat. unire ; de unus, un seul). Confondre en un : unir deux communes. Joindre l'un à l'autre : canal qui unit deux mers. Associer : unir les plaisirs aux affaires. Joindre d'amitié, d'intérêt : l'amitié qui unit deux personnes. Lier par l'amour, le mariage : unir deux fiancés. Aplanir : unir une allée. S'unir v. pr. S'associer, se lier par les liens de l'amour, du mariage. Devenir uni, s'aplanir. Ant. Désunir.
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UNIRÉFRINGENT (jan), E adj. Qui ne produit qu'une réfraction : cristal uniréfringent.
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| UNISÉRIÉ, E adj. Qui ne formee qu'une série. Qui est disposé sur un seul rang.
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| UNISEXUALITÉ (sèk-su) n. f. (de unisexué.) Etat d'une fleur qui n'a qu'un sexe.
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| UNISEXUEL, ELLE (sèk-su-èl, è-le) ou UNISEXUÉ, E (sèk-su-é) adj. Bot. Qui n'a qu'un seul sexe.
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UNISSON (ni-son) n. m. (lat. unus, un, et sonus, son). Accord de plusieurs voix ou de plusieurs instruments qui ne font entendre qu'un même son : chanter à l'unisson. Fig. Action simultanée. Accord : se mettre à l'unisson des circonstances.
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| UNISSONNANT (ni-so-nan), E adj. Musiq. Qui est à l'unisson. (Peu us.)
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UNITAIRE (tè-re) adj. Qui a rapport à l'unité politique : doctrines unitaires. N. m. Partisan de l'unité, de la centralisation en politique. Sectaire qui ne reconnaît qu'une seule personne en Dieu, comme les sociniens.
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| UNITARISME (ris-me) n. m. Doctrine des unitaires.
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UNITÉ n. f. (lat. unitas ; de unus, un seul). Principe de tout nombre : on n'additionne que des unités de même espèce. Quantité prise pour commune mesure de toutes les autres de même espèce : unité de longueur, de poids, de capacité. Qualité de ce qui est un, par opposition à pluralité : l'unité de Dieu. Action simultanée et tendant au même but : il n'y a pas d'unité entre eux. Harmonie d'ensemble d'une œuvre artistique ou littéraire : unité d'action, de temps, de lieu (ou les trois unités.) Dans la littérature classique française, règles dramatiques d'après lesquelles la pièce entière doit se développer : 1° en une seule action principale ; 2° dans l'espace d'une journée ; 3° dans le même édifice, ou au moins dans la même ville.
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UNITIF, IVE adj. Qui unit : fibres unitives du cœur. Théol. Vie unitive, vie de perpétuelle union avec Dieu.
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| UNIVALVE adj. Se dit des fruits capsulaires formeés d'une seule pièce et des mollusques qui n'ont qu'une valve.
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UNIVERS (vèr) n. m. (lat. universus). L'ensemble des choses existantes ; le monde : l'immensité de l'univers. La terre et ses habitants : parcourir l'univers. Universalité des hommes : événement qui étonne l'univers.
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| UNIVERSALISATION (vèr, za-si-on) n. f. Action d'universaliser.
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| UNIVERSALISER (vèr, zé) v. a. Rendre universel, général.
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| UNIVERSALISME (vèr-sa-lis-me) n. m. Opinion qui ne reconnaît d'autre autorité que le consentemont universel. Opinion d'après laquelle Dieu a voulu la rédemption de tous les hommes et non pas seulement celle des élus.
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| UNIVERSALISTE (vèr-sa-lis-te) n. m. Partisan de l'universalisme.
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UNIVERSALITÉ (vèr) n. f. Généralité ; totalité : l'universalité des êtres ; l'universalité de ses biens. Caractère de ce qui embrasse toutes les connaissances : universalité d'esprit. Logiq. Qualité d'une proposition universelle.
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UNIVERSEL, ELLE (vèr-sel, è-le) adj. (lat. universalis). Général ; qui s'étend à tout : remède universel. Qui a des aptitudes dans tout : esprit universel. Legs universel, celui qui embrasse la totalité des biens du testateur.
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| UNIVERSEL (vèr-sèl) n. m. Ce qui est universel. Philos. Nom sous lequel les scolastiques désignaient les idées ou termes généraux qui servaient à classer les êtres et les idées. (En ce sens, fait au plur. universaux.)
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UNIVERSELLEMENT (vèr-sè-le-man) adv. D'une façon universelle ; de tout l'univers : savant universellement connu.
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UNIVERSITAIRE (vèr-si-tè-re) adj. Qui appartient à l'Université : études universitaires. N.m. Professeur de l'Université.
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UNIVERSITÉ (vèr) n. f. (du lat. universitas, universalité). Groupe d'écoles, nommées facultés ou collèges suivant le pays, qui donnent l'enseignement supérieur : l'université de Paris, d'Oxford. Bâtiments où réside une université. Université de France ou absol. l'Université, corps enseignant choisi par l'Etat et chargé de donner en son nom l'enseignement primaire, secondaire et supérieur. (V. Part. hist.)
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| UNIVOLTAIN (tin) ou UNIVOLTIN n. m. (ital. una, une, et volta, fois). Ver à soie qui ne donne dans l'année qu'une seule génération.
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| UNIVOQUE adj. (lat. unus, seul, et vox, voix). Qui désigne plusieurs objets distincts, mais de même genre, avec le même sens : homme est univoque à Pierre et à Paul. Gramm. Qui désigne avec le même son des objets différents : son est univoque à la partie grossière du blé et à la sensation du bruit. Musiq. Consonance univoque, de même nom.
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| UPAS (u-pass) n. m. Poison tiré du latex de divers arbres, en particulier du strychnos, et qui sert aux naturels de Java pour empoisonner leurs flèches.
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| URAÈTE n. m. Genre d'oiseaux rapaces d'Australie, qui sont des aigles d'assez grande taille.
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| URANATE n. m. Chim. Sel de l'acide uranique.
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| URANE n. m. Chim. Oxyde d'uranium.
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| URANIE (nî) n. f. Genre d'insectes lépidoptères , comprenant de grands papillons de Madagascar, qui brillent des plus vives couleurs.
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| URANIQUE adj. Qui concerne l'uranium. Rayons uraniques, radiations émises par l'uranium et ses dérivés.
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| URANITE n. f. Phosphate hydraté naturel d'uranium.
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| URANIUM (ni-om') n. m. Chim. Corps simple métallique, extrait de l'urane.
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| URANOGRAPHE n. m. Savant qui s'occupe d'uranographie.
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| URANOGRAPHIE (fî) n. f. (gr. ouranos, ciel, et graphe, description). Description du ciel.
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| URANOGRAPHIQUE adj. Qui appartient à l'uranographie.
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| URANOMÉTRIE (trî) n. f. (gr. ouranos, ciel, et metron, mesure). Art de mesurer les distances célestes.
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| URANOPLASTIE (plas-tî) n. f. Restauration du voile du palais.
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| URANORAMA n. m. Machine représentant les corps célestes et leurs mouvements.
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| URANOSCOPE (nos-ko-pe) n. m. Genre de poissons acanthoptères, répandus dans les mers chaudes.
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| URAO n. m. Carbonate hydraté naturel de soude.
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| URATE n. m. Sel de l'acide urique.
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| URBAIN, E (bin, è-ne) adj. et n. (lat. urbanus ; de urbs, ville). De ville, de la ville, par opposition à rural : les populations urbaines.
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| URBANISTE (nis-te) n. f. Membre d'une congrégation de femmes qui suit la règle des clarisses, mitigée par Urbain IV.
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URBANITÉ n. f. (lat. urbanitas). Politesse que donne l'usage du monde : accueillir un visiteur avec urbanité.
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| URCÉOLAIRE (lè-re) n. f. Genre de lichens qui vivent sur la terre, les arbres, les rochers.
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| URCÉOLE n. m. (du lat. urceolus, petit vase). Organe en formee de sac. Bot. Nom donné au calice quand il est en formee d'outre. Genre de lianes d'Asie qui fournissent du caoutchouc.
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| URCÉOLÉ, E adj. (de urcéole). Bot. Se dit d'un calice en formee d'urcéole.
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| URÉDINÉES (né) n. f. Pl. Ordre de champignons parasites des végétaux, qui formeent des taches connues sous le nom de rouilles. S. une urédinée.
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| URÉDO n. m. Fructification des urédinées.
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URÉE (u-ré) n. f. (du gr. ouron, urine). Substance azotée que l'on rencontre dans l'urine, qui en contient environ 25 grammes par litre : l'urée est le produit de la combustion des matières azotées dans l'organisme.
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| URÉIDES n. m. pl. Chim. Classe de composés dérivés de l'urée. S. un uréide.
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| URÉMIE (mî) n. f. Intoxication du sang par l'urée, observée dans les néphrites.
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| URÉMIQUE adj. Qui a rapport à l'urémie.
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| URÉTÉRALGIE (jî) n. f. (de uretère, et du gr. algos, douleur). Douleurs dans les uretères.
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| URETÈRE n. m. (gr. ourêtêr). Chacun des deux canaux qui portent l'urine des reins dans la vessie.
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| URÉTÉRIQUE adj. Qui a rapport aux uretères.
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| URÉTÉRITE n. f. Inflammation des uretères.
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| URÉTRAL, E, AUX adj. Qui appartient à l'urètre.
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| URÈTRE n. m. (gr. ourêthra). Canal qui conduit l'urine hors de la vessie.
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URGENCE (jan-se) n. f. Qualité de ce qui est urgent : il y a grande urgence à ce que vous veniez. D'urgence, sur-le-champ.
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URGENT (jan), E adj. (du lat. urgere, presser). Qui ne peut se différer : affaire urgente.
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URGONIEN, ENNE (ni-in, è-ne) adj. Se dit de la partie inférieure du système crétacé : la craie urgonienne. N. m. : l'urgonien.
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| URINAIRE (nè-re) adj. Qui a rapport à l'urine.
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| URINAL n. m. Vase à col relevé, où les malades urinent. Pl. des urinaux.
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| URINATION (si-on) n. f. Production de l'urine.
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| URINATOIRE adj. Qui facilite l'urination.
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| URINE n. f. (lat. urina). Liquide excrémentitiel, sécrété par les reins et émis par la vessie.
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| URINER (né) v. a. Evacuer l'urine.
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| URINIPARE adj. (de urine, et du lat. parere, engendrer). Qui produit l'urine.
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| URINOIR n. m. Endroit disposé pour uriner.
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| URIQUE adj. Chim. Acide urique, acide azoté éliminé par l'organisme, que l'on rencontre dans l'urine humaine, et qui constitue la masse entière des excréments de serpents et d'oiseaux. Calcul urique, calcul urinaire composé d'acide urique ou d'urate.
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| URNE n. f. (lat. urna) Vase de formee variable, qui servait aux anciens à renfermer les cendres des morts, à puiser de l'eau, etc. Vase qui a la formee d'une urne antique. Boîte ou récipient quelconque, qui sert à recueillir les bulletins de vote, les numéros qu'on tire au sort, etc.
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| UROBILINE n. f. Pigment biliaire, constituant l'une des matières colorantes de l'urine.
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| UROCYSTITE (sis-ti-te) n. f. Inflammation de la vessie.
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| URODÈLES n. m. pl. Ordre de batraciens à corps allongé, à membres courts, comme la salamandre. S. un urodèle.
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| URODYNIE (nî) n. f. Douleur causée par l'excrétion de l'urine.
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| UROGASTRE (ghas-tre) n. m. Partie des crustacés dite vulgairement queue.
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| UROLITHE n. m. Calcul urinaire.
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| UROMÈTRE, URÉOMÈTRE, URINOMÈTRE n. m. Aréomètre pour mesurer la densité des urines.
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| UROPODE n. m. Appendice de l'extrémité de l'abdomen, chez certains crustacés.
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| UROPYGIAL, E, AUX adj. (gr. oura, queue, et pugê, cuisse). Qui appartient au croupion des oiseaux.
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| UROSCOPIE (ros-ko-pî) n. f. Examen de l'urine.
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| URSULINE n. f. Religieuse de l'ordre de SainteUrsule, fondé en 1537 par sainte Angèle de Mérici de Brescia.
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| URTICACÉES (sé) n. f. pl. Bot. Famille de dicotylédones, ayant pour type l'ortie. S. une urticacée.
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URTICAIRE (kè-re) n. f. (du lat. urtica, ortie). Eruption cutanée, semblable à celle que produit le contact de l'ortie : l'urticaire est souvent le résultat d'une intoxication alimentaire.
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| URTICANT (kan), E adj. Se dit des animaux ou des végétaux qui produisent une piqûre analogue à celle de l'ortie.
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| URTICATION (si-on) n. f. (du lat. urtica, ortie). Piqûre accompagnée d'une sensation de brûlure, que produisent sur la peau les poils de l'ortie. Flagellation que l'on pratique avec des orties fraîches, pour produire sur la peau une excitation révulsive.
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| URUBU n. m. Espèce de vautour de la taille d'un dindon, répandu dans toute l'Amérique chaude. — L'urubu est noir, avec les pieds rougeâtres, la face et le cou roux et bleuâtres. Très commun dans les lieux habités, il rend service en dévorant les charognes et les ordures jusque dans les rues des villes.
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| URUS (u-russ) ou URE n. m. Nom donné à l'aurochs, ou bison d'Europe.
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| URVILLÉE (vi-lé) n. f. Genre de sapindacées américaines.
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| US (uss) terminaison d'un grand nombre de mots latins. Fam. Savant en us, pédant.
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US (uss) n. m. pl. (lat. usus). Usages : les us et coutumes de ce pays.
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| USABLE (za-ble) adj. Que l'on peut user. Ant. Inusable.
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USAGE (u-za-je) n. m. (de us). Coutume, pratique consacrée : s'accoutumer aux usages reçus. Action de se servir, emploi : usage des richesses. Coutume qui règle l'emploi des mots et des tours de phrase : expression hors d'usage. Droit de se servir d'une chose qui appartient à autrui ; jouissance : se réserver l'usage d'une chose. Connaissance acquise par la pratique de ce qu'il faut faire ou dire en société : usage du monde. N. m. pl. Terrains vagues appartenant à une commune et sur lesquels les habitants avaient le droit de faire paître leurs bestiaux.
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USAGÉ, E (u-za) adj. (de usage) Qui a déjà servi : vêtements usagés.
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| USAGER (u-za-jé), ÈRE adj. Destiné à l'usage habituel. Effets usagers, effets non soumis aux droits de douane. N. Personne qui a le droit d'usage, de pâture dans les forêts.
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| USANCE (u-zan-se) n. f. Terme de trente jours, habituellement fixé pour le payement d'une lettre de change.
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USANT (u-zan), E adj. Dr. Qui use, qui a droit d'user : fille usante de ses droits.
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USÉ, E (u-zé) adj. (de user). Affaibli : homme usé. Banal, pour avoir été trop répété ou employé : sujet usé.
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USER (u-zé) v. n. (du lat. usus, usage). Faire usage, se servir : user d'un droit. Avoir recours à : user de violence. User mal, abuser. En user, agir, se conduire : vous en usez mal avec lui. V. a. Consommer par l'usage : user de l'huile. Détériorer par l'usage : user la pointe d'un couteau. Diminuer, par le frottement, le volume de : le grès use le fer. Fig. Détruire, anéantir progressivement : user sa santé.
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USER (u-zé) n. m. (v. user pris substantiv.). Usage, durée de l'emploi : cette étoffe est d'un bon user.
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| USINE (u-zi-ne) n. f. (lat. officina). Grand établissement de fabrication, comme forge, fonderie, etc.
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| USINIER (u-zi-ni-é) n. m. Qui exploite une usine.
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USITÉ, E (u-zi-té) adj. (lat. usitatus). Qui est en usage : terme qui n'est plus usité.
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| USQUEBAC (us-ke-bak) n. m. Whiskey en usage chez les montagnards écossais.
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| USTENSILE (us-tan) n. m. (lat. utensilia). Petit meuble, instrument, etc., servant aux usages de la vie courante et à l'exercice de certaines professions.
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| USTILAGINÉES (us-ti, né) n. f. pl. Ordre de champignons parasites des végétaux, sur lesquels ils produisent le charbon et la carie. S. une ustilaginée.
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| USTION (us-ti-on) n. f. (du lat. urere, brûler). Action de brûler. Chir. Effet d'un cautère actuel. (Peu us.)
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| USUCAPION (u-zu-ka) n. f. (lat. usus, usage, et capere, prendre). En droit romain, mode d'acquisition de la propriété, fondé sur une possession prolongée pendant un certain temps.
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USUEL, ELLE (u-zu-èl, è-le) adj. (du lat. usus, usage). Dont on se sert ordinairement : termes usuels.
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| USUELLEMENT (u-zu-è-le-man) adv. D'une façon usuelle. (Peu us.)
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| USUFRUCTUAIRE (u-zu-fruk-tu-è-re) adj. Qui ne donne que l'usufruit.
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| USUFRUIT (u-zu-fru-i) n. m. (lat. usus, usage, et fructus, fruit). Jouissance des fruits, du revenu d'un bien dont la nue propriété appartient à un autre. — L'usufruit est le droit d'user d'une chose qui appartient à autrui et d'en percevoir les fruits à titre définitif, le propriétaire de la chose n'en conservant que la nue propriété. Les fruits sont les produits périodiques et réguliers de la chose donnée en usufruit. L'usufruit légal est celui que la loi accorde aux père et mère sur les biens de leurs enfants mineurs ; au mari, sur les biens dotaux de sa femme.
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USUFRUITIER (u-zu-fru-i-ti-é), ÈRE n. Qui a l'usufruit : l'usufruitier d'un bien. Adjectiv. Réparations usufruitières, celles qui incombent à l'usufruitier.
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USURAIRE (u-zu-rè-ré) adj. Où il y a usure : prêt usuraire.
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| USURAIREMENT (u-zu-rè-re-man) adv. D'une manière usuraire.
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USURE (u-zu-re) n. f. (lat. usura). Intérêt d'un capital prêté au-dessus du taux fixé par la loi : le délit d'habitude d'usure est puni d'amende et d'emprisonnement. Fig. Profit disproportionné avec l'objet qui le procure. Avec usure, au delà de ce qu'on a reçu : rendre avec usure une injure reçue.
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| USURE (u-zu-re) n. f. (de user.) Détérioration que produisent l'usage ou le frottement.
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USURIER (u-zu-ri-é), ÈRE n. Qui prête à usure. Adjectiv. : banquier usurier.
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| USURPATEUR, TRICE (u-zur) n. Personne qui usurpe. Spécialem. Personne qui s'empare, par des moyens injustes, de l'autorité souveraine.
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USURPATION (u-zur-pa-si-on) n. f. Action d'usurper : usurpation de fonctions publiques. Etat qui en résulte. Par ext. Objet usurpé.
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| USURPATOIRE (u-zur) adj. Qui a le caractère de l'usurpation.
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USURPER (u-zur-pé) v. a. (lat. usurpare). S'emparer, par violence ou par ruse, de ce qui appartient à un autre : usurper un trône. Fig. Arriver à posséder sans droit : réputation usurpée.
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| UT (ut') n. m. (premier mot de l'hymne de Saint-Jean-Baptiste. [V. gamme].) Première note de la gamme ordinaire. Signe qui la représente. (On dit auj. do en solfiant la clef d'ut. [V. clef.].)
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UTÉRIN, E adj. (du lat. uterus, ventre). Se dit des frères et des sœurs nés de la même mère, mais non du même père. Qui concerne l'utérus : maladies utérines.
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| UTÉRUS (russ) n. m. (m. lat..) Organe de la gestation, chez les animaux supérieurs. (Syn. matrice.)
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UTILE adj. (lat. utilis ; de uti, se servir). Qui rend service : des travaux utiles. Temps utile, temps opportun, au delà duquel il n'est plus utile d'agir. L'utile n. m. Ce qui est utile : joindre l'utile à l'agréable. Ant. Inutile.
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| UTILEMENT (man) adv. D'une manière utile. Ant. Inutilement.
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| UTILISABLE (za-ble) adj. Qui peut être utilisé. Ant. Inutilisable.
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| UTILISATION (za-si-on) n. f. Action ou manière d'utiliser. Ant. Inutilisation.
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| UTILISER (zé) v. a. Tirer parti de. Ant. Inutiliser.
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UTILITAIRE (tè-re) adj. Qui se propose surtout l'utilité : morale utilitaire. N. Personne qui met l'utilité au-dessus de toute autre considération. Philos. Partisan de l'utilitarisme.
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UTILITARISME (ris-me) n. m. Système de morale, qui place dans l'intérêt particulier ou général la règle de nos actions : Stuart Mill a défendu l'utilitarisme.
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UTILITÉ n. f. Service que rend une personne ou un objet : l'utilité d'une mesure. N. f. pl. Au théâtre, emploi subalterne. Personne qui le remplit : jouer les grandes, les petites utilités. Ant. Inutilité.
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| UTOPIE (pî) n. f. (du lat. Utopia, pays imaginaire inventé par le chancelier anglais Thomas Morus et donné comme titre à un de ses livres). Système ou plan qui paraît d'une réalisation impossible.
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| UTOPIQUE adj. Qui a le caractère de l'utopie.
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| UTOPISTE (pis-te) n. Personne qui fait des utopies, qui formee des projets imaginaires.
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| UTRAQUISTE (ku-is-te) n. m. (du lat. utraque, l'une et l'autre). Nom donné aux hussites de la Bohême, qui communiaient sous les deux espèces.
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| UTRICULAIRE (lè-re) adj. Qui a la formee d'un utricule.
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| UTRICULARIACÉES (sé) n. f. pl. Famille de plantes dicotylédones. S. une utriculariacée.
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| UTRICULE n. m. Bot. Petite outre.
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| UTRICULEUX, EUSE (leû, eu-ze) adj. Qui est garni d'utricules.
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| UVAIRE (vè-re) adj. Bot. Qui se compose de petits grains globuleux.
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| UVA-URSI n. m. Espèce d'éricacée, dont les feuilles sont employées en infusions diurétiques.
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| UVE n. f. Pommade de blanc de plomb.
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| UVÉE (vé) n. f. (du lat. uva, raisin). Couche pigmentaire de l'iris. Ancien nom de la choroïde.
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| UVÉITE n. f. Inflammation de l'uvée.
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| UVIFORME adj. Qui a la formee du raisin.
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| UVULAIRE (lè-re) adj. Qui a rapport à l'uvule. N. f. Genre de liliacées ornementales.
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| UVULE n. f. Nom scientifique de la luette.
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